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La nuit étendait son store sur la ville, dissimulant les formes des bâtiments par-dessous un drap d’obscurité mouvante. Dans un maison exigu, perché au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni classique ni traditionnel, un facile machine aux touches effacées par l'apport, s
La nuit étendait son rideau sur la grande ville, dissimulant les formes des bâtiments par-dessous un drap d’obscurité mouvante. Dans un domicile exigu, placé au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni actuel ni familial, un ample matériel aux touches effacées par la mise
La journée étendait son store sur la ville, dissimulant les contours des bâtiments sous un drap d’obscurité mouvante. Dans un foyers exigu, placé au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni moderne ni familial, un souple appareil aux touches effacées par l'apport, défenda
La journée étendait son tenture sur la cité, dissimulant les contours des bâtiments sous un drap d’obscurité mouvante. Dans un maison exigu, placé au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni moderne ni ancien, un pratique poste de travail aux touches effacées par l'apport